mardi 1 juillet 2014
Dans l'Antiquité grecque ...
Dans l'Antiquité grecque, il existait trois disciplines martiales olympiques :
- l'orthopale, littéralement "la lutte droite"; qui s'apparentait plus à la lutte traditionnelle sénégalaise qu'à la lutte moderne dite gréco-romaine (qui est en réalité une lutte française, provençale plus précisément). On perdait un point si on posait un genou à terre (ou a fortiori le dos) et au bout de trois points, le combat était arrêté.
- Le pygmachia, littéralement "la guerre des poings"; chronologiquement d'abord à mains nues, puis avec des lanières de cuir (à la façon du muay boran), puis avec des cestes renforcés de plaquettes de bois, de métal et parfois de pointes ! Traduction moderne : le pugilat.
- Et le pankration, littéralement "tout est permis". Traduction moderne : le pancrace.
Il existait aussi deux disciplines non olympiques, intermédiaires entre l'orthopale et le pankration, et entre le pygmachia et le pankration :
- le kato pale, littéralement "lutte complète", appelée aussi alyndisis, littéralement "lutte allongée", où le combat se poursuivait au sol avec toutes toutes les techniques desoumission/renoncement qu'on retrouve de nos jours en croche et dans d'autres disciplines spécialistes du sol.
- Et l'ano pankration, une forme de pankration sans poursuite du combat au sol (contrairement au kato pankration ou simplement pankration). Cette variante était utilisée lors des tours préliminaires des grandes compétitions pour éviter les blessures et/ou l'épuisement des concurrents. Cette discipline pourrait être apparentée au muay thaï contemporain, car utilisant toute la panoplie des coups ainsi que quelques projections.
- l'orthopale, littéralement "la lutte droite"; qui s'apparentait plus à la lutte traditionnelle sénégalaise qu'à la lutte moderne dite gréco-romaine (qui est en réalité une lutte française, provençale plus précisément). On perdait un point si on posait un genou à terre (ou a fortiori le dos) et au bout de trois points, le combat était arrêté.
- Le pygmachia, littéralement "la guerre des poings"; chronologiquement d'abord à mains nues, puis avec des lanières de cuir (à la façon du muay boran), puis avec des cestes renforcés de plaquettes de bois, de métal et parfois de pointes ! Traduction moderne : le pugilat.
- Et le pankration, littéralement "tout est permis". Traduction moderne : le pancrace.
Il existait aussi deux disciplines non olympiques, intermédiaires entre l'orthopale et le pankration, et entre le pygmachia et le pankration :
- le kato pale, littéralement "lutte complète", appelée aussi alyndisis, littéralement "lutte allongée", où le combat se poursuivait au sol avec toutes toutes les techniques desoumission/renoncement qu'on retrouve de nos jours en croche et dans d'autres disciplines spécialistes du sol.
- Et l'ano pankration, une forme de pankration sans poursuite du combat au sol (contrairement au kato pankration ou simplement pankration). Cette variante était utilisée lors des tours préliminaires des grandes compétitions pour éviter les blessures et/ou l'épuisement des concurrents. Cette discipline pourrait être apparentée au muay thaï contemporain, car utilisant toute la panoplie des coups ainsi que quelques projections.
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